Après des plans sociaux chez Michelin, Valeo, Vencorex ou Exxon, c’est au tour du sidérurgiste d’annoncer des fermetures de sites. Et il est peu probable que l’appel aux pouvoirs publics pour sauver les meubles soit efficace, car les contraintes budgétaires actuelles poussent l’Etat à plus d’économies que de générosité, note Philippe Escande, éditorialiste économique au « Monde ».


Média d'origine : Le Monde