Le tribunal de commerce de Strasbourg a validé lundi la seule offre de reprise de ce fleuron sidérurgique français en difficulté. Le repreneur britannique promet de conserver 760 emplois sur 780 et d’investir 90 millions d’euros, en plus de 85 millions d’euros de prêt d’Etat. Mais pas avant un an.


Média d'origine : Le Monde