L’électricien national, qui a dû stopper lundi un réacteur à Golfech (Tarn-et-Garonne), pour limiter les rejets d’eau chaude dans la Garonne, reste rassurant sur les effets à court terme des vagues de chaleur sur le parc nucléaire. Mais son autorité de sûreté comme la Cour des comptes l’incitent à accélérer son adaptation.