L’audition de près de quatre heures de la présidente de Radio France n’a pas différé des précédentes : un rapporteur offensif, une atmosphère sous tension, et une dirigeante interrogée calme et précise.
L’audition de près de quatre heures de la présidente de Radio France n’a pas différé des précédentes : un rapporteur offensif, une atmosphère sous tension, et une dirigeante interrogée calme et précise.