La société, qui vient de passer commande de douze TGV à Alstom et a obtenu un milliard d’euros du fonds Antin Infrastructure Partners, entend s’attaquer au monopole de la SNCF. Mais la concurrence doit encore faire la preuve de sa pertinence, dans un secteur très subventionné, estime Philippe Escande, éditorialiste économique au « Monde ».


Média d'origine : Le Monde