Alors que Rome se targue d’avoir vu la note de sa dette publique relevée par les agences de notation, l’économie italienne souffre de maux profonds : croissance faible, productivité anémique, pauvreté persistante et fuite des cerveaux.
Alors que Rome se targue d’avoir vu la note de sa dette publique relevée par les agences de notation, l’économie italienne souffre de maux profonds : croissance faible, productivité anémique, pauvreté persistante et fuite des cerveaux.