Les résultats sont tombés jeudi : BBVA, la deuxième banque espagnole, a échoué à mettre la main sur son concurrent, dont 40 % du capital est détenu par des entreprises, institutions financières ou particuliers catalans. Une dimension politique qui explique ce camouflet inattendu, analyse Isabelle Chaperon, chroniqueuse au service Economie du « Monde ».


Média d'origine : Le Monde