La dimension sociale et affective, pourtant essentielle, est toujours passée sous silence lors des débats sur la question de l’héritage et de ses inégalités, déplore la psychologue clinicienne dans une tribune au « Monde ».
La dimension sociale et affective, pourtant essentielle, est toujours passée sous silence lors des débats sur la question de l’héritage et de ses inégalités, déplore la psychologue clinicienne dans une tribune au « Monde ».