Moins menacée par les aléas géopolitiques, l’Union européenne reste dépendante de l’importante source d’approvisionnement norvégienne. Mais le rôle du petit royaume scandinave pourrait ne pas durer. La production des Etats-Unis et du Qatar, sur le marché dans les deux ans, permettrait aux Européens de négocier de meilleurs prix, souligne Jean-Michel Bezat, journaliste économique au « Monde ».


Média d'origine : Le Monde