Alors que la chasse à l’« apparence de conflits d’intérêts » s’applique avec rigueur à tous les fonctionnaires et dirigeants publics, la nomination de l’ancien premier ministre à la tête de la SNCF peut légitimement étonner. Dans une tribune au « Monde », Thierry Dallard, ancien président de la Société du Grand Paris, veut croire qu’elle sera l’occasion, pour le Parlement et le gouvernement, de faire un bilan de l’application de ces lois de transparence.