Berlin et Madrid menacent de se retirer du SCAF, ce système censé remplacer le Rafale et l’Eurofighter à horizon 2040, mécontents que le tricolore Dassault exige de contrôler la sous-traitance afin de protéger ses secrets et ceux de la France. Paris se dit prêt à financer seul le développement du projet, au risque de devoir rogner sur d’autres dépenses, observe Isabelle Chaperon, chroniqueuse au service Economie du « Monde ».


Média d'origine : Le Monde