Le rêve américain du producteur d’hydrocarbures ne démarre pas sous les meilleurs auspices. Le groupe doit prouver aux actionnaires que ses investissements dans le solaire ou l’éolien ne pèsent pas sur sa rentabilité, et aux Européens qu’il ne faiblit pas sur la transition énergétique, constate Isabelle Chaperon, chroniqueuse au service Economie du « Monde ».