Le texte, qui sera examiné au Sénat, mardi 21 octobre, prévoit deux réécritures majeures de ce délit concernant les manquements des élus. Si la première, à savoir la dépénalisation du conflit d’intérêts public-public, fait consensus, la seconde, un changement de formulation aux effets majeurs, risque d’affaiblir la réponse judiciaire.