Le plan de rigueur du gouvernement censuré mercredi aurait conduit à un déficit plus proche de 5,8 % du PIB que de l’objectif de 5 % : le gouvernement sortant a notamment sous-estimé les effets de report entre assiettes fiscales induits par la baisse de l’activité, expliquent les économistes du Cepremap, dont François Langot, dans une tribune au « Monde »