Si un discours non anthropocentré est moralement souhaitable, il soulève de nouvelles difficultés pour les organisations, observent les chercheurs Benoît Demil, Xavier Lecoq et Vanessa Warnier dans une tribune au « Monde ».
Si un discours non anthropocentré est moralement souhaitable, il soulève de nouvelles difficultés pour les organisations, observent les chercheurs Benoît Demil, Xavier Lecoq et Vanessa Warnier dans une tribune au « Monde ».