Avec près de 200 milliards d’euros de prêts et de subventions, Rome touche la plus grosse part de « Next Generation EU », les aides européennes instaurées après la pandémie de Covid-19. Des sommes susceptibles de regonfler la croissance, en finançant notamment les infrastructures. A condition qu’elles soient bien dépensées.


Média d'origine : Le Monde