En 2022, l’entreprise française, qui emploie 230 personnes dans son usine historique de la Chapelle-Saint-Mesmin (Loiret), avait subi de plein fouet la flambée des prix du gaz. Elle avait été temporairement sauvée par un prêt de l’Etat de 15 millions d’euros.


Média d'origine : Le Monde