Face à une hausse de leurs coûts de financement conjuguée à une volatilité accrue, et alors que les marchés doutent de la capacité d’une France sans gouvernement à infléchir sa trajectoire budgétaire, les émetteurs français se ruent sur les emprunts, constate Isabelle Chaperon, chroniqueuse économique au « Monde ».


Média d'origine : Le Monde