Les autorités de l’archipel de l’océan Indien se veulent rassurantes et refusent de demander l’aide du FMI, alors que les réserves de change suffisent à peine à couvrir un mois et demi d’importations. La dette extérieure s’est aussi creusée, sur fond de lutte d’influence entre l’Inde et la Chine, premiers investisseurs étrangers.