Alarmés par la fin programmée, au 1ᵉʳ janvier 2024, de l’usage des titres-restaurant pour l’achat de produits alimentaires, des députés sont montés au créneau. Un débat qui soulève la question de la pertinence de cet outil de fléchage de la dépense et celle de son effet cliquet, note Philippe Escande, éditorialiste économique au « Monde ».