Pour éviter de dépendre de Pékin et de son quasi-monopole sur les terres rares, une chercheuse de Grenoble et un ancien d’ArcelorMittal fabriquent des aimants pour moteur à partir de matière recyclée.
Pour éviter de dépendre de Pékin et de son quasi-monopole sur les terres rares, une chercheuse de Grenoble et un ancien d’ArcelorMittal fabriquent des aimants pour moteur à partir de matière recyclée.