Choisie par l’Elysée pour succéder à Philippe Wahl à la tête de La Poste, Marie-Ange Debon s’inscrit dans la continuité de son prédécesseur. Elle assume l’accord contesté entre Colissimo et Temu, et refuse de plafonner les rémunérations des hauts dirigeants du groupe.


Média d'origine : Le Monde