Si de nombreuses familles monoparentales sont touchées par la précarité, cette situation n’est pas une fatalité, souligne un collectif d’associations dans une tribune au « Monde » : un droit opposable à la garde d’enfant, des congés parentaux plus longs, et des pensions alimentaires réévaluées pourraient changer la donne.


Média d'origine : Le Monde