Le royaume wahhabite est prêt à abandonner sa cible de 100 dollars le baril et à augmenter sa production. Objectif : reprendre des parts de marché perdues, notamment au profit des Etats-Unis. Ce qui n’empêche pas Riyad de continuer à préparer sa sortie de l’or noir, note Jean-Michel Bezat, journaliste au « Monde ».