L’organisation britannique, qui exploite 500 monuments et mobilise 50 000 bénévoles, fait rêver en France, où les sites historiques, rarement rentables, sont gérés par des associations, institutions et propriétaires privés.
L’organisation britannique, qui exploite 500 monuments et mobilise 50 000 bénévoles, fait rêver en France, où les sites historiques, rarement rentables, sont gérés par des associations, institutions et propriétaires privés.