Alors qu’une assemblée générale se tiendra, le 9 décembre, pour acter la scission du conglomérat, tout semble avoir été conçu pour permettre au groupe Bolloré de monter au capital des différents actionnaires sans payer de prime de contrôle, estime Isabelle Chaperon, journaliste économique au « Monde ».


Média d'origine : Le Monde