Face à l’urgence environnementale, Philippe Lukacs invite à se détacher de l’« économie de l’échange », aiguillée par la valeur marchande des êtres et des biens, et avec laquelle « la réalité est aplatie par les chiffres ». Il faut à ses yeux lui préférer une « économie de l’alliance », fondée sur le renforcement des liens.


Média d'origine : Le Monde