- Auteur : Carte Financement Date : 25/10/2024 Lecture : 2min.
Le spectre est large, puisqu’il regroupe à la fois des investissements très usuels comme l’immobilier, mais également les investissements dans les hedge funds ou les matières premières, le capital-investissement et les crypto-monnaies, jusqu’aux investissements dans l’art, le vin et les voitures de collection.
Ces investissements dits « alternatifs » se retrouvent tout naturellement dans la plupart des allocations d’actifs des clients quelle que soit leur surface patrimoniale, puisque prisés pour la diversification qu’ils apportent au sein de l’allocation et pour la complémentarité face aux investissements traditionnels.
Premier élément qui met en valeur la singularité des actifs alternatifs, leur aspect protecteur face à l’inflation.
Prenons l’exemple de l’immobilier ou des matières premières, dans un contexte d’inflation, ces actifs sont généralement considérés comme suivant la hausse des prix, voire générant de la valeur. Depuis 2020, il faut toutefois noter que l’inflation brutale que nous avons connue consécutive à la crise du COVID et à la Guerre en Ukraine, a engendré une politique de hausse de taux sans précédent qui a pu parfois impacter le prix de l’immobilier à la baisse, celui-ci restant toutefois sur le long terme un actif tangible et résilient au sein d’un patrimoine.
L’Or et l’Argent en revanche, pour ne citer que ces deux matières premières, ont joué pleinement leur rôle de barrière contre l’inflation. La valeur de l’once d’Or et celle de l’once d’Argent ont connu des hausses respectives de 40 % et 20 % depuis janvier 2021, ce qui fait plus que compenser l’inflation d’environ 15 % en moyenne sur la période en France.
Le deuxième objectif visé par les investisseurs intégrant des classes d’actifs alternatives dans leur allocation est bien entendu la recherche de rendements plus élevés que ceux associés aux marchés traditionnels.
Les cryptoactifs
C’est le cas notamment pour les investissements dans les hedge funds ou en cryptomonnaie. Les cryptoactifs, en particulier, ont connu un fort engouement ces dernières années, le nombre de Français les possédant a augmenté de près de 20 % entre 2021 et 2023, avec un public qui reste encore majoritairement jeune et masculin. La France reste toutefois encore en léger retrait de ses voisins européens sur cette classe d’actifs détenue par environ 1 Français sur 10, contre près de 15 % de la population dans le reste de l’Europe...
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