Depuis près de 3 ans, les variations des indices européens et américains traduisent seulement celle des plus importantes sociétés qui les composent : les actions de seulement 7 sociétés aux USA expliquent à elles-seules toute la performance du marché américain ces dernières années; pour notre CAC40 il en est de même avec ses trois plus importantes capitalisations (LVMH, Hermes, L'Oréal).
Ci-dessus, on voit que LVMH presque à lui seul, entraîne le CAC40 à la hausse ou à la baisse : depuis le mois d'avril, LVMH a baissé de près de 30%, et le CAC a rendu l'ensemble de sa performance.
Nous sommes quant à nous toujours investis mondialement sur les sociétés moins chères, qui sont pour l'instant depuis 2021 les oubliées de la cotation, et qui présentent le plus de réserve de valeur.
Depuis l'élection américaine début novembre notamment, et aussi depuis la décision en septembre dernier de la FED de baisser pour la première fois ses taux d'intérêts, la levée progressive des incertitudes permettent aux marchés de se remettrent peu à peu à fonctionner, et les valeurs les moins chères commencent à être à nouveau recherchées.